Samedi 5 mai 6 05 /05 /Mai 21:38
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Géraldine nous resservit un verre. Assise, elle s'approcha de Sophie et l'embrassa sur la joue, puis sur le nez. Elle déposa un baiser sur le lobe de son oreille, puis frola ses lèvres. Sophie ne se déroba pas, mais restait immobile. Géraldine prit les commandes, renouvelant ses baisers, doucement, jusqu'à ce que Sophie entrouve les levres et caresse à son tour les lèvres de Géraldine. Celle-ci, en confiance, commençait à ouvrir le chemisier de son amie, doucement, puis l'enleva, découvrant un très belle poitrine, assez forte et ronde, qui tranchait avec la modestie de la sienne. Les caresses s'échangèrent entre ces deux là, sans que je n'intervienne encore.
Nous sommes alors allés dans la chambre, tous trois tres excités. Les filles s'embrassaient, découvrant des envies qui n'étaient jusqu'alors que platoniques. Elles se caressaient, doucement, de plus en plus excitées.
Nues, elles se dirigent enfin vers moi, et entreprennent de me déshabiller. Géraldine prit l'initiative de tout m'enlever et de découvrir mon sexe, dont le volume impressionna tout de suite Sophie. Elle n'osait toucher. Je l'y encourageait gentiment et m'allongeai. Mes deux amis entreprirent un doux massage de mon dos, puis me firent retourner, pour se concentrer sur mes épaules, mes cuisses, avant de monter doucement vers mon sexe et mes bourses, effleurées par quatre mains. J'étais tres tres excité, je bandais vraiment à fond. Les deux coquines se penchèrent alors, abandonnant toute timidité. Géraldine lechait mes bourses pendant que son amie touchait mon sexe, le léchait avec tendresse.
Quelle délice que ce moment! La fellation dura une quinzaine de minutes pendant lesquelles les coquines échangeaient leurs gestes, se croisaient, s'embrassaient au passage. Excitées comme jamais, Géraldine me demanda de la prendre. Elle se mit sur le dos, et je la pénétrai avec lenteur. J 'entrai désormais en elle avec facilité, elle s'était habituée à la taille de mon engin. Je fis quelques va et vient, puis j'accélérai, pour la faire jouir rapidement. J'avais hate de prendre son amie Sophie, qui attendait en regardant, souriante, mais avouant une petite inquiétude.
Quelques minutes apres, Géraldine laissa sa place. Je vins vers Sophie allongée, et j'embrassai ses seins, volumineux mais tres sensibles. Je descendis et frola son clitoris, avec mes doigts, puis doucement avec la langue. Elle tréssaillit, appréciant visiblement la caresse. Cinq minutes après, je la sentais plus détendue : je m'allonge sur elle, et positionne mon sexe face à elle. Géraldine l'embrassait, quand je la pénétrai avec beaucoup de précaution. Elle m'avoua que la sensation était tres forte : j'étais le mieux membré des garçons qu'elle avait connu ...
Après quelques minutes pendant lesquelles je coulissais lentement, craignant de lui faire mal, elle me demanda d'aller plus vite. Ce fut alors un vrai feu d'artifice, Géraldine nous encourageant sans cesse. Sophie gémissait de plus en plus fort, mais tardait à se rendre. Nous avons changé de position deux ou trois fois avant que je ne la sente jouir, brutalement, tres fort, et retomber sur le lit.
Je bandais toujours, aussi je repris Géraldine en levrette, position qui l'excite beaucoup. C'est dans cette position que j'ai explosé, un moment après. Fatigués, nous avons bavardé quelques minutes. Puis les filles ont voulu me remercier et ont recommencé à me sucer, me faisant bander très vite. Sophie voulait gouter de nouveau à mon pieu, et vint se positonner sur moi, descendant sans peine sur ce qu'elle avait apprivoisé. Coulissant doucement sur moi, elle resta longtemps ainsi, tandis que je caressais ses seins, qui frolaient mon torse. Elle rythmait cet échange, et aimait apparemment que cela dure longtemps. Géraldine, à côté, entreprit de se caresser et jouit avec mon aide, tandis que Sophie ne se lassait pas de sa chevauchée. Enfin, elle explosa et, comme la première fois, retomba sur moi.
Apres quelques instants, elle se dégagea, s'allongea pres de moi, et prit mon sexe dans sa bouche, me suçant doucement, régulièrement. Sa langue jouait avec le gland qu'elle avait des difficultés à garder entièrement dans sa bouche. Elle aspirait très fort, et caressait mes bourses, jusqu'à ce que je me rende : je ne tenais plus sous cette douce pression ...
Me sentant venir, elle ne se retira pas, et garda dans sa bouche ma liqueur, en avalant l'essentiel. Elle remonta vers moi et voulu me faire gouter le reste, ce que je fis pour la première fois...
Par corto - Publié dans : 1 H 2 F ou 2 F 1 H !!!
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