Lundi 13 août 1 13 /08 /Août 23:01
Ma femme Nicole avait gagné de passer avec mon accord un week-end avec son ancien petit ami, Philippe. Cependant, j'ai pensé que ce serait plus logique que ce soit elle qui raconte cet épisode.
Je lui laisse donc la parole : " Mon mari, Gilles, m'a demandé de raconter le week-end que j'ai passé avec Philippe. Je le fais volontiers, mais auparavant, je voudrais vous parler de René, mon beau-frère.
Quand René a épousé ma sœur, j'avais 16 ans. Très vite il a manifesté un certain intérêt pour moi. Il faut dire qu'à cet age-là, j'étais déjà une vraie femme avec une poitrine bien développée et des fesses bien rondes.
Le premier événement s'est produit 2 ans après leur mariage, j'avais 18 ans. Souvent, je passais le week-end ou une partie des vacances dans la maison qu'ont ma sœur et mon beau-frère à la campagne.
J'occupais une chambre contiguë à la leur, mais dont la porte se trouvait au fond du couloir après un coude. Plusieurs fois, le soir, quand j'allais me coucher, j'avais entendu comme un glissement devant ma porte. Un soir, après un dîner bien arrosé pour cause d'anniversaire, je décidais d'en avoir le cœur net.
Mon lit se trouvait juste en face de la porte. C'était l'été et il faisait chaud. Laissant la lumière allumée en grand, je me déshabillais et complètement nue, je m'allongeais sur mon lit. Cinq minutes plus tard, je perçus un frôlement en provenance de la porte. J'écartais alors largement les jambes mettant bien en valeur ma belle toison brune. Je posais ma main sur mon minou, commençais à me caresser d'abord le clitoris, et rentrant un doigt puis deux dans mon vagin, je me branlais de plus en plus vite jusqu'à l'orgasme. J'entendis alors comme un râle derrière la porte et ensuite une série de frottements très légers. J'en déduisis que mon beau-frère venait de se branler en me matant par le trou de la serrure. Effectivement, le lendemain matin, je trouvais des traces blanchâtres le long de la porte.
Le deuxième événement s'est produit environ un an plus tard, j'avais 19 ans. Nous avions été invités tous les trois au mariage d'un de mes cousins et nous avions copieusement fêté l'événement. Je devais passer la nuit dans la maison de campagne de ma sœur et de mon beau-frère. J'avais tellement bu que j'étais à moitié inconsciente quand nous sommes rentrés. Ils m'ont pratiquement portée tous les deux jusqu'à mon lit.
- Il va falloir la déshabiller et la coucher, dit René à ma sœur.
- Qu'est ce qu'elle tient ! lui répondit-elle.
Ils entreprirent de me retourner pour ouvrir ma robe fermée par un zip dans le dos. Je portais une robe noire courte assez moulante, des bas noirs, un porte-jarretelles, une culotte et un soutien-gorge blancs. Après de gros efforts, ils réussirent à me retirer ma robe et à me remettre sur le dos. Il faut dire qu'ils étaient aussi un peu partis.
- Retire lui ses bas et son porte-jarretelles pendant que je plie sa robe ! dit ma sœur à son mari.
Aussitôt, René entreprit de rouler mes bas le long de mes cuisses. Il en profita pour effleurer plusieurs fois ma culotte du dos de la main, puis il s'attaqua au porte-jarretelles. Ces légers attouchements commencèrent à m'exciter. Je sentais ma vulve devenir humide. Pour retirer mon porte-jarretelles, il dut soulever ma culotte, découvrant ainsi mon abondante toison brune. Pendant ce temps, ma sœur avait dégrafé mon soutien-gorge et mis à l'air mes deux seins.
- Je lui retire aussi sa culotte ? demanda René.
- Oui, elle sera moins serrée pour dormir.
Me soulevant légèrement les fesses, il fit glisser ma culotte le long de mes cuisses. Bien qu'à moitié inconsciente, je sentais l'atmosphère devenir électrique. De savoir mon sexe exposé ainsi m'excitait de plus en plus. Tout d'un coup, je sentis deux doigts effleurer mon clitoris. Mon mari l'a déjà dit, j'ai un clitoris très développé et très sensible.
- Mais elle bande ! s'écria René.
Je pensais que je ne devais pas être la seule…
- Tu crois qu'elle mouille? lui répondit ma sœur.
Et m'écartant les grandes lèvres, elle introduit un doigt dans mon minou. Elle se mit à me branler en insistant sur mon point le plus sensible. Son branlage était très efficace. Elle avait toujours aimé se branler et était devenue une experte. J'ai su plus tard qu'elle se branlait très souvent devant son mari.
René, de son coté, n'était pas en reste et me massait de plus en plus vite le clitoris. Au bout de 2 ou 3 minutes, je ne pus retenir un orgasme que j'essayais de rendre le plus discret possible.
- Ca y est, elle a joui ! dit ma sœur. Laissons la dormir !
Quant à eux, cette séance avait bien du les exciter car je les ai entendu baiser comme des bêtes tout de suite après. Quelques heures plus tard, dans un demi sommeil, j'ai senti un corps venir au dessus de moi. Puis un sexe se presser contre le mien. C'était René qui essayait de me pénétrer. Cependant, l'alcool ayant fait son effet, ce qui tentait de s'introduire entre mes cuisses ressemblait plus à une guimauve qu'à un gourdin. Le pauvre n'arrivait pas à bander. Mais il continuait à frotter son gland ramolli contre mon minou. Bien réveillée, je fis cependant semblant de dormir pour voir ce qui allait arriver. Eh bien ! au bout de plusieurs minutes d'efforts, il finit par jouir et se vida dans ma toison. Le lendemain matin, j'avais la foufoune bien empesée.
Je me rendais bien compte de l'effet que je faisais à mon beau-frère et cela m'excitait de plus en plus. Une autre fois, toujours pendant un week-end d'été, ma sœur et son mari étaient assis chacun d'un coté de la table de la salle à manger. C'est une ancienne table très large et assez haute. Ils faisaient leurs mots croisés. Quand ma sœur était plongée dans ses mots croisés, le monde aurait pu s'écrouler sans qu'elle s'en aperçoive. Souvent, je participais à leurs mots croisés. Ce jour-là, je vins à coté de mon beau-frère pour l'aider. Ne voulant pas m'asseoir, j'étais penchée en avant les coudes appuyées sur la table, les jambes très écartées, tout contre lui.
- En quatre lettres, ville de l'Inde, me dit-il. Tu connais ?
Au même moment, je sentis sa main se poser sur l'arrière de ma jambe. J'étais vêtue d'un tee-shirt très décolleté et d'un bermuda très ample. Tout doucement, sa main remonta le long de ma cuisse, pénétrant dans la jambe du bermuda puis s'arrêta. Ne me voyant pas réagir, il reprit son ascension jusqu'à atteindre ma culotte. Je jetais un coup d'œil vers ma sœur, elle ne se rendait compte de rien. De sentir cette main entre mes cuisses commençait à m'exciter. Je sentais ma vulve s'humidifier. René se mit à me caresser le sexe à travers ma culotte. Il avait senti mon clitoris se durcir et avait entrepris de le masser.
- Attends, je vais chercher le dictionnaire ! dis-je en me dégageant de sa main.
Tout déconfit, il me regarda sortir de la pièce. Je courus dans ma chambre, retirais mon bermuda et mon slip et remis mon bermuda. Mon minou commençait à suinter. Je pris un dictionnaire et vins me réinstaller à côté de mon beau-frère dans la même position que précédemment. Rassuré, il reprit très vite les choses là où il les avait laissées, c'est-à-dire sa main entre mes cuisses. J'attendais avec impatience sa réaction quand il verrait que je n'avais plus de culotte. En fait, je guettais discrètement sa braguette. Effectivement, quand sa main atteignit mon sexe et découvrit ma toison sans protection, son pantalon se gonfla brutalement.
Il se remit à me masser le clitoris, puis sentant ma vulve devenir de plus en plus humide, il me glissa son majeur dans le vagin et me branla discrètement mais fermement jusqu'à ce que j'explose sur son doigt. Je ne pus retenir un gémissement.
- Ca ne va pas ? me demanda ma sœur. Tu as un malaise ?
- Non, non ! C'était juste un pincement sur le coté. C'est passé.
Elle se replongea aussitôt dans sa grille. René, au bord de l'apoplexie se leva, se tournant de manière à masquer la protubérance de son pantalon.
- Je vais aux toilettes deux minutes, dit-il à la cantonade.
Je me doutais de ce qu'il allait faire. Je laissais passer une minute puis dis à ma sœur :
- Je vais me faire un café, tu en veux aussi ?
- Non, merci.
Je sortis de la salle à manger et au lieu d'aller à la cuisine, je fonçais aux toilettes. J'appuyais sur la poignée de la porte. Elle s'ouvrit. Dans sa hâte, René avait oublié de mettre le verrou. Il était debout, face à la cuvette, la bite à l'air, en train de se branler. Je refermais doucement la porte derrière moi sans lui laisser le temps de réagir. Je mis ma main sur son sexe qui se durcit un peu plus, repoussais sa main et commençais un branlage digne d'une professionnelle. Je tirais complètement la peau vers l'arrière, décalottant son gland à fond, puis serrant mes doigts au maximum, je revenais vers l'avant, massant son gland avec mon pouce. Quand je le sentais prêt à jouir, j'arrêtais le mouvement de ma main, serrais très fort sa bite, attendais quelques secondes et reprenais mon va-et-vient. Après deux ou trois minutes, le sentant sur le point de venir, j'accélérais brusquement mon branlage jusqu'à ce que, dans une ultime contraction, son jus se mette à gicler en de longues saccades interminables. Il y en avait partout sur la cuvette et sur les murs. Le laissant reprendre ses esprits, je sortis des toilettes et revins tranquillement dans la salle à manger. Soeurette n'avait toujours pas bougé.
Peu de temps après cet épisode, j'ai rencontré mon mari et il ne s'était plus rien passé avec mon beau-frère jusqu'au marché que j'ai proposé à mon mari. Je pense qu'il va être un peu surpris quand il lira tout ceci car je ne le lui avais jamais raconté. J'en viens donc maintenant à mon week-end avec Philippe, chèrement gagné.
Après mon épreuve, j'ai appelé Philippe au téléphone pour lui dire que Gilles, mon mari, acceptait que je passe un week-end avec lui. Nous avons convenu de nous retrouver le vendredi soir dans le café au coin de ma rue et de là nous partirions en Normandie où il a une petite gentilhommière. Il faut avant tout que je vous dise qui est Philippe. Je l'ai rencontré quand j'avais 18 ans. Nous suivions les mêmes cours du soir. A cette époque là, je n'avais connu qu'un seul garçon qui m'avait déflorée à la va-vite sans me faire jouir. Philippe m'a tout appris. Il m'a appris comment branler un garçon, ses points sensibles. Il m'a appris à sucer en aspirant pour mieux coller les lèvres sur la bite. Il m'a appris un grand nombre de positions. Il m'a enculé pour la première fois la troisième fois où nous avons fait l'amour. Il avait commencé à me baiser normalement, par devant et, sur le point de jouir :
- Retourne-toi et détends-toi ! me dit-il.
Etant pratiquement sur le point de jouir moi aussi, je m'exécute sans deviner ce qu'il voulait faire. Il m'écarte doucement les fesses, se met à me lécher la raie puis le trou. En même temps sa main se glisse sous mon ventre et me masse le clitoris (que j'ai très développé et très sensible ….) Il s'allonge sur moi et je sens son gland chercher mon petit trou. Très doucement, il s'enfonce en moi, d'abord juste le gland, et progressivement toute la bite qu'il a très longue. Sous l'effet de la douleur, je me crispe et gémit doucement. Puis la douleur disparaît, l'excitation arrive autant par mon clitoris qu'il masse de plus en plus fort que par la sensation de sa queue qui va et vient de plus en plus vite dans mon cul. Nous explosons tous les deux en même temps. Je sens son jus gicler en moi. A partir de ce moment-là, il m'enculait régulièrement car cela a toujours été une de ses positions favorites.
Il m'a fait jouir de toutes les manières, avec ses doigts, avec sa bouche, avec son sexe et quelquefois avec des accessoires. Il m'a baisée debout, toute habillée dans un parking. Il m'a branlée et fait jouir pendant un concert de musique classique. Il m'a baisée en me raccompagnant dans le hall de mon immeuble. Il m'a prise en levrette, complètement nue, dans une forêt où un voyeur nous regardait. Il m'a baisée à la plage, dans l'eau, à vingt mètres des autres baigneurs……. En un mot, il a été mon éducateur.
Donc, nous nous retrouvons dans ce café et nous prenons la route, direction sa maison normande. A peine arrivés, il me déshabille, se déshabille, me jette sur son lit et me fait l'amour comme je ne l'avais plus fait depuis dix ans. Nous dînons complètement nus, nous caressant, nous excitant mutuellement, nous branlant, nous léchant, nous mettant les doigts dans tous nos orifices et les suçant après. Ensuite, nous retournons au lit où nous refaisons l'amour sans fin. Cette nuit-là, il m'aura fait jouir onze fois. Je me suis endormie, allongée sur lui, sa bite dans mon minou, sans crainte de rester collés tellement nous étions inondés.
Le lendemain matin, beau soleil. Nous sommes en juin, il fait chaud. Nous prenons le petit déjeuner dans le jardin, toujours nus. Son jardin étant entièrement clos, nous ne risquons pas d'être dérangés. Vers onze heures du matin, après notre toilette, nous sommes de retour au jardin, toujours nus.
- Viens, je vais te montrer quelque chose ! me dit-il
Il m'amène prés d'un portique auquel sont accrochés plusieurs agrès. En particulier, deux anneaux attachés à une corde permettant de les faire monter et descendre à volonté. Détachant la corde, il amène les anneaux à environ un mètre du sol.
- Passe des jambes dedans ! Tu vas faire le cochon pendu.
Je passe mes jambes dans les anneaux et me reverse en arrière. Philippe, tirant sur la corde, remonte alors les anneaux. Il prend un tasseau qui se trouvait à côté et s'en sert pour écarter les anneaux l'un de l'autre d'environ un mètre. Je suis donc suspendue la tête en bas et les cuisses bien écartées. Je réalise alors ce qu'il veut faire. Mon sexe est à la hauteur de sa bouche et la mienne est en face de sa bite. M'attrapant par les cuisses, il commence à me lécher la vulve, écartant mes grandes lèvres pour mieux faire pénétrer sa langue, me tète le clitoris. Sa queue se presse contre ma bouche. Il faut que je vous décrive cette queue.
Elle est longue et fine. Une fois je l'ai mesurée avec un triple décimètre et j'ai mesuré son diamètre avec un pied à coulisse. Résultat : 20 cm et 3 cm de diamètre. Quand il bande debout, elle est complètement horizontale. Dés qu'il bande, le gland se décalotte. Son gland est du même diamètre que la hampe. C'est mieux pour enculer, mais je pense que c'est moins bien pour baiser.
Je commence par lui lécher le gland, lui attrape les couilles en les triturant et, finalement, gobe son sexe. Sa langue continue à me fouiller à me mordiller. Je sens que l'orgasme est proche. Je gémis de plus en plus fort tandis que sa bite va et vient de plus en plus vite dans ma bouche. C'est le premier 69 vertical de ma vie. C'est sensationnel. Son doigt s'est maintenant enfoncé dans mon cul. Il me branle le cul à la même cadence que je suce sa bite. Je sens que je vais exploser. Ca y est je jouis, je jouis, je jouis….
Son sperme gicle dans ma bouche, je m'étrangle en essayant de l'avaler. Je suis comme vidée. J'ai l'impression de pendre comme une vieille chaussette. Philippe me redescend. Nous reprenons notre souffle, allongés dans l'herbe. Un peu plus tard, quand nous avons récupéré, il me dit :
- Tiens ! je vais te montrer une autre position.
Un peu inquiète, je le regarde.
- Tu vas repasser tes jambes dans les anneaux, mais cette fois-ci, tu garderas le corps vers le haut en te tenant aux cordes des anneaux. Un peu comme quand tu t'accroupis pour faire pipi.
Ne comprenant pas très bien où il veut en venir, je replace mes jambes dans les anneaux qui sont dans le creux de mes genoux, me tiens bien droite en attrapant les cordes des anneaux au dessus de ma tête. Philippe lève l'ensemble, replace sa barre destinée à écarter les anneaux et je comprends alors ce qu'il veut faire. J'ai maintenant le bassin en contrebas, les cuisses très écartées et le torse bien droit.
- Pour que tu ne fatigues pas trop en te tenant, le vais t'attacher les avant-bras aux cordes pour que tu puisses te détendre.
A l'aide de deux foulards il m'attache les avant-bras. Je n'ai ainsi plus besoin de me tenir. Nos têtes sont à le même hauteur, et nos sexes sont en face l'un de l'autre.
Le fait que mes cuisses soient très écartées lui permet de placer sa bite contre mon minou. Sans se guider de la main, il s'enfonce doucement en moi. Sa bouche vient se plaquer contre la mienne, sa langue se mêle à la mienne. Ses mains se promènent sur mes seins, les malaxent, les caressent, descendent le long de mes hanches, viennent saisir mes fesses, s'insinuent dans ma raie.
J'ai l'impression de faire l'amour en apesanteur. Il me balance, faisant ainsi aller et venir ma chatte sur sa bite. Il se branle avec mon sexe. Je ne sens plus que cette bite qui me pénètre au plus profond de moi-même.
- Salut ! Je ne vous dérange pas !
Nous sursautons comme si nous venions de toucher une ligne à haute tension.
Eric se tient à la porte-fenêtre qui donne sur le jardin. Eric est le frère de Philippe. Il est son aîné d'un an. Je ne l'ai rencontré que trois ou quatre fois. Il est aussi beau que Philippe, mais autant ce dernier est brun, autant Eric est blond. J'avoue que j'ai quelquefois fantasmé sur lui.
Philippe s'est retiré de moi. Visiblement, la surprise ne l'a pas déstabilisé. Il bande toujours autant et sa bite est toujours aussi fièrement pointée vers l'avant. Il se tourne vers son frère :
- Non, pas du tout. Tu connais Nicole, lui dit-il en me présentant.
Je suis morte de honte. Mes parties les plus intimes sont exposées à la vue d'un étranger sans que je ne puisse faire quoi que ce soit pour les cacher. J'essaye en vain de me détacher, mais n'arrive qu'à resserrer mes liens.
- Mets toi à l'aise et viens nous rejoindre, ajoute-t-il à l'adresse d'Eric.
- OK ! J'arrive.
- Détache-moi vite ! Je t'en prie ! dis-je à Philippe.
- Mais non, tu vas voir, il est très sympa !
Je ne sais pas si Eric est "sympa" mais, en tout cas, il est très à l'aise. En effet, il vient de ressortir de la maison, nu comme un ver et se dirige vers nous. Au fur et à mesure qu'il s'approche, je peux détailler son intimité. Et son intimité se développe au fur et à mesure qu'il s'approche. Si les deux frères se ressemblent sur certains points, il en est un où la différence est indéniable.
Eric s'avance en me détaillant de la tête aux pieds, en s'attardant plus particulièrement sur ma sombre toison au milieu de laquelle mes grandes lèvres sont largement ouvertes et sur mes seins généreusement pointés en avant. Il s'arrête en face de moi.
- Nous nous sommes déjà rencontrés, je crois. Nous pouvons donc nous faire la bise.
En fait de bise, il plaque sa bouche contre la mienne et me roule un patin qui me laisse au bord de l'asphyxie. Reculant un peu, il pose sa main droite sur mon sein et le pétrit généreusement.
Je baisse alors les yeux pour mieux découvrir ce que je n'avais qu'entraperçu. Je suis pétrifiée par le spectacle. Sa bite fait au moins 25 cm de long et surtout elle est énorme. Son gland ressemble à une tête de champignon et elle se relève presque à la verticale. Philippe, qui n'a rien perdu de nos examens réciproques, sourit malicieusement. Je ne suis plus du tout sure que cette arrivée soit vraiment accidentelle. Comme pour me confirmer ce sentiment, il s'adresse à son frère :
- Comment trouves-tu ma petite Nicole ? Elle te plaît dans cette position ?
- Tout à fait ! Je la trouve très jolie et très excitante. Je peux ?
- Mais absolument ! Tu sais que tout ce qui est à moi est à toi et réciproquement.
En même temps indignée par le fait qu'il ne se préoccupe pas du tout de ce que je pense et quand même très curieuse de l'effet que peut faire un tel engin, je ne réplique pas. Eric, toujours très à l'aise, s'approche de moi, s'empare de ma bouche. Je sens sa langue qui virevolte contre la mienne. On dirait qu'il a trois langues. Sa main droite est venue se poser sur ma hanche et descend le long de ma fesse pour venir se plaquer contre ma vulve. Un doigt se pose sur mon clitoris qui réagit aussitôt en se durcissant. Un autre doigt se fraye un chemin entre mes lèvres inondées pour se glisser dans ma chatte. Il a des doigts très longs et très agiles. Son autre main s'est posée sur mes seins et commence à les malaxer.
Retirant alors son doigt de mon vagin, il prend sa bite et la dirige vers mon sexe. J'appréhende la pénétration de ce monstre dans ma chatte. Sa bite est déjà bien mouillée, je ne dois pas le laisser indifférent. Je sens son gland qui fourrage dans mes poils. Il s'approche de mes grandes lèvres, les force à s'écarter et s'enfonce doucement en moi. Ecartelée comme je le suis, inondés comme nous le sommes tous les deux, la pénétration se fait sans douleur. J'ai l'impression que sa bite est sans fin. Enfin, elle vient buter au fond de mon vagin.
Plusieurs fois, Philippe, arrivant au fond de ma grotte, a pu rentrer son gland dans le col de mon utérus. C'est une impression fantastique et pour lui, car son gland est serré très fort, et pour moi, car j'ai l'impression qu'il s'enfonce au plus profond de moi.
Etant donné la grosseur de la bite d'Eric, ceci ne risque pas de se produire. Je suis pleine de lui. Je sens son gland passer et repasser sur mon point G. Il accélère son mouvement. J'ai les yeux fermés. Pour moi, plus rien n'existe que cette colonne de chair palpitante en moi, me labourant comme le soc d'une charrue. Ses mains qui me malaxent, me triturent les seins, sa langue qui s'enroule autour de la mienne.
Philippe, devant le spectacle qui s'offre à lui, ne peut s'empêcher de saisir sa bite et de se masturber en nous regardant. Je sens une jouissance énorme qui monte en moi. Un orgasme qui va me tuer. Et c'est l'explosion ! L'explosion de ma jouissance ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! Je hurle ma jouissance ! Et c'est l'explosion de ce sexe dans mon ventre qui n'en finit pas de déverser de longs jets de sperme qui coule entre mes cuisses.
Philippe, qui s'est mis sur le côté pour mieux nous voir, éjacule sur moi. C'est fini ! Je suis vidée, inconsciente.Eric est toujours dans moi. Son sexe, après s'être comme dégonflé quelques instants, se durcit de nouveau, emplissant mon vagin, le dilatant. Je le supplie :
- Pitié ! Eric. Je vais mourir !
- Mais non ! Tu vas voir. Ce n'est qu'un début.
Et de reprendre doucement son va et vient, ses caresses et ses baisers.
Philippe, lui, vient se placer derrière moi. Je sens son gland chercher le trou de mon cul. Il le guide délicatement. Une légère poussée et sa bite s'introduit dans mon cul.
Dans un premier temps, Eric et Philippe alternent leurs mouvements. L'un entre, l'autre sort. Puis, au fur et à mesure que leur excitation augmente ils me pilonnent ensemble, me pénétrant tous les deux en même temps. Je sens leurs quatre couilles s'écraser en même temps contre moi. Mon cul et ma chatte sont tellement inondés qu'un grand bruit de succion accompagne leurs mouvements. Je sens un nouvel orgasme arriver, encore plus violent que le précédent. Ils ahanent comme des bûcherons chaque fois qu'ils s'enfoncent en moi. Je ne vis plus que pour ces deux bites qui me pilonnent et que je sens se rencontrer en moi.
Mes gémissements se sont transformés en cris. Tout le quartier doit se demander ce qui arrive chez Philippe. Je les supplie :
- Plus vite, plus vite. Ouiiii ! Plus fort ! Oh oui ! Je vais jouir ! Ouiii ! Plus vite ! Plus vite ! Encore, encore ! Je vais jouir ! Je jouis ! Je jouiiiis ! Je jouiiiis !
Ils déchargent quasiment ensembles. Leur jus coule par terre, faisant une petite mare blanche et mousseuse. Epuisés, ils se retirent. Philippe me détache. Je ne suis plus qu'une loque sans force. Je ne sens plus ni ma chatte ni mon cul. Nous nous écroulons dans l'herbe où nous nous endormons.
Eric est reparti en fin de journée après une dernière séance de baise à trois mais dans une position plus confortable pour moi. Philippe et moi n'avons fait l'amour qu'une seule fois cette nuit-là, tellement nous étions fatigués. Le lendemain, au cours d'une de nos séances, il me dit :
- J'aimerais que nous te baisions Eric et moi devant ton mari. Qu'en penses-tu ? Je crois que cela l'exciterait.
 
Par Delphine - Publié dans : 1 H 2 F ou 2 F 1 H !!!
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